Découvrir Siros - Siros, commune du Béarn, 64, Aquitaine

Classement et statistique du village de Siros

Classement	Habitants	Superficie	Densité
sur la France	14 199^e	36 071^e	3 006^e
sur la région d'Aquitaine	851^e	2 274^e	123^e
sur le département des Pyrénées-Atlantiques	158^e	537^e	35^e
sur l'arrondissement de Pau	79^e	264^e	20^e
sur le canton de Lescar	11^e	14^e	3^e

Les maires de Siros

Ils portèrent l'écharpe :

1792 : Lacabanne

1792 à 1793 : Clos

1793 à An 3 : Puyalet

An 3 à An 10 :Angousture

An 10 à 1808 :Cassou

1808 à 1819 : Ignace Clos

1819 à 1825 : Pierre Labarthe

1825 à 1830 : Pierre D'Augerot

1830 à 1832 : Lacabanne

1832 à 1836 : Jean Plasteig-Cassou

1836 à 1865 : Jean Lavigne

1865 à 1904 : Jean Plasteig-Cassou

1904 à 1912 : Joseph Lacabanne

1912 à 1919 : Ignace Clos

1919 à 1935 : Emile Plasteig-Cassou

1935 à 1938 : Urbain Lapabe

1938 à 1945 : Alfred Maysonnave

1945 à 1965 : Urbain Mariette

1965 à 1983 : Robert Lapabe

1983 à 2001 : Jean Hounieu

27001 à 2014 : Joëlle Borello

2014 à 2020 : Christophe Pando

2020 à : Christophe Pando

Population et habitants de Siros

Gentilé des habitants de Siros	Sirosiens, Sirosiennes
Nombre d'habitants de Siros	763 habitants (1er janvier 2016)
Densité de population à Siros	345 hab/km²
Genre et Sexe	Homme à Siros: 48,4 %, Femme à Siros: 51,6 %

Historique de Siros

En Béarn, tous les noms de villages dont le nom se termine par "os" datent de l’époque de l’occupation de l’Aquitaine par les légions romaines.

La terminaison béarnaise en "os" est dérivée du latin "us".

On peut simplement s’en convaincre par le fait que le "u" latin, qui se prononce "ou", s’écrit "o" en béarnais qui se prononce également "ou".

Des esprits savants pensent que le nom de Siros a, vraisemblablement, été donné par un certain Sirus maître des lieux en ces temps-là.

On ne sait, hélas, rien de cette époque lointaine et il faut arriver au recensement de Gaston Fébus, en 1385, pour savoir que la paroisse de Siros comptait 12 feux (12 familles). Sachant que, de ce temps-là, les familles étaient nombreuses et que les générations cohabitaient, on peut estimer la population à une centaine de personnes.

Une abbaye laïque gouvernée par un « domenger » et dépendant du « vic » de Lescar est mentionnée au 16^ème siècle.