Siros, avec
ses 131 hectares de surface agricole utile, 730 habitants et environ 12.6 % de son territoire classé en bio, va recevoir prochainement le label « Territoire bio engagé » décerné par l’association Interbio Aquitaine/Limousin/Poitou-Charentes
ses 131 hectares de surface agricole utile, 730 habitants et environ 12.6 % de son territoire classé en bio, va recevoir prochainement le label « Territoire bio engagé » décerné par l’association Interbio Aquitaine/Limousin/Poitou-CharentesEn 2012, à l’occasion de ses 10 ans, l’association Interbio Aquitaine/ Limousin/ Poitou-Charentes a lancé le label « Territoire bio engagé », récompensant les communes ou collectivités ayant atteint les objectifs bio du Grenelle de l’Environnement, à savoir : 6 % de surface agricole bio sur leur territoire ou 20 % d’approvisionnements bio dans leurs services de restauration collective. Siros a atteint cet objectif avec 16 ha, soit 12.6 % de SAU (surface agricole utile) bio et rejoint ainsi les 7 autres communes labellisées du 64 : Anglet, Ascain, Poursiugues-Boucoue, Jurançon, Poey de Lescar, Monein et Saint-Abit. Lundi 3 octobre, Christophe Pando, Maire, se verra remettre le diplôme « Charte d’appartenance au Label Territoire BIO engagé ».
A ce jour, l’association Interbio Aquitaine/Limousin/Poitou-Charentes rassemble environ 200 adhérents représentant 70 % de la production biologique régionale.
66 collectivités d ‘Aquitaine/Limousin/Poitou-Charentes ont reçu le Label «Territoire BIO engagé dont 8 dans les Pyrénées-Atlantiques.
« … il y a une demande sociétale de plus en plus forte, car la crainte des pesticides est de plus en plus grande », observe un Responsable.
A ce jour, l’association Interbio Aquitaine/Limousin/Poitou-Charentes rassemble environ 200 adhérents représentant 70 % de la production biologique régionale.
66 collectivités d ‘Aquitaine/Limousin/Poitou-Charentes ont reçu le Label «Territoire BIO engagé dont 8 dans les Pyrénées-Atlantiques.
« … il y a une demande sociétale de plus en plus forte, car la crainte des pesticides est de plus en plus grande », observe un Responsable.
Pour la conversion, il faut compter trois ans. Durant ce temps, aucun produit chimique ne doit être utilisé mais la reconnaissance "bio" n’arrive qu’au terme de la troisième année.
Dans le cadre de la PAC, des aides permettent de passer le cap. Elles durent cinq ans et sont de 130 €/ha pour les prairies d’élevage, 300 €/ha pour les prairies ayant plus de 50 % de légumineuses et pour les grandes cultures (maïs, céréales), et de 900 €/ha pour l’arboriculture et le maraîchage.
Sur les 11 000 exploitations du département, 356 étaient en bio fin 2015. Le cap des 400 devrait être atteint cette année.
Dans le cadre de la PAC, des aides permettent de passer le cap. Elles durent cinq ans et sont de 130 €/ha pour les prairies d’élevage, 300 €/ha pour les prairies ayant plus de 50 % de légumineuses et pour les grandes cultures (maïs, céréales), et de 900 €/ha pour l’arboriculture et le maraîchage.
Sur les 11 000 exploitations du département, 356 étaient en bio fin 2015. Le cap des 400 devrait être atteint cette année.
Enfin, notons une autre démarche qui concerne le bassin versant de la Nive et le Plan d’action territorial (PAT)
du Gave de Pau, pilotés par le Département et l’Agence de l’eau Adour-Garonne, avec l’aide financière de l’Europe. Il s’agit de développer l’agriculture bio et les méthodes alternatives aux intrants pour améliorer la qualité de l’eau. Et des terres, et de la santé des riverains par la même occasion.
du Gave de Pau, pilotés par le Département et l’Agence de l’eau Adour-Garonne, avec l’aide financière de l’Europe. Il s’agit de développer l’agriculture bio et les méthodes alternatives aux intrants pour améliorer la qualité de l’eau. Et des terres, et de la santé des riverains par la même occasion.
